Nous nous garons à proximité du centre de congrès avant de rejoindre le musée d’art contemporain. Sur le chemin Gaétan est intéressé par une mobylette rouge géante autour de laquelle nous devisons un instant avant de poursuivre notre route.
Pierre tient à se faire prendre en photo avec un magnifique cheval en bronze au trot qui se tient devant le casino. “ Ce cheval est très beau “ me dit Pierre alors que Nicole accompagnée d’Elodie sont déjà dans l’ascenseur du musée.
Nous essayons tant bien que mal de les rattraper et nous commençons la visite avec Fanny notre guide que Sylviane a particulièrement apprécié. “Elle m’a décrit les salles dans lesquelles nous nous trouvions car je ne suis pas en mesure de les voir et je me souviens de la musique qui était diffusée notamment le piano et le violoncelle.” Pour Nicole, ce sont les voix qui l’ont le plus enthousiasmé.
Fanny nous montre les partitions que John Cage a inventé. Ces partitions libèrent la musique et ouvrent un nouveau champ de créativité sonore que l’on voit appliqué ci-dessous par Jean qui s’affère sur son clavier avec autant de curiosité et d’ardeur que Cage sur son piano, à droite.
Après que toute la troupe se soit exprimée sur les claviers, nous avons rejoins Gaétan assis sur un grand coussin noir écoutant Fanny nous parler d’Eric Satie.
Une dernière photo souvenir pour Mohamed et Pierre.
C’est par la “Dream house” envahie par l’odeur de l’encens et par des vibrations apaisantes que nous finissons notre périple sonore et olfactif.
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